19/10/2010
israel et les tunnels
Des mitraillettes, des mines,... du TNT ou une voiture dans le panier
On se demandait comment les forces égyptiennes pouvaient ne pas voir les centaines de tunnels gazaouis aboutissant en Égypte. La corruption couplée à de bas salaires des fonctionnaires égyptiens étant l’une des réponses, et sans doute une certaine mollesse politique. Mais Le Caire s’est peut-être rendu compte qu’avoir un voisin islamiste n’était pas une bonne idée et s’efforce donc de freiner les trafics. Des tunnels sont découverts. 580 depuis le début 2010, dont 16 suffisamment grands pour faire passer des voitures...
L’agence de presse Maan nous apprend que ce lundi des mitraillettes, munitions, grenades, gilets pare-balles, mines et 150 kilos de TNT ont été saisis à Rafah, ville frontalière Des tunnels ont été trouvés. L’un d’entre eux assez grand pour faire passer une voiture. Ce que ne dit pas l’agence c’est que des missiles ou autre armement important peuvent également y passer... On pense aux missiles anti-aériens qui menacent potentiellement les vols passant près de la Bande de Gaza et qui contraignent les forces de sécurité à prendre des mesures dissuasives rigoureuses.
Pas de crise humanitaire en vue mais peintures, Mercedes et pisciculture
Une vidéo postée sur le site de cette même agence de presse montre de jeunes femmes dûment voilées en train de peindre une fresque sur le mur d’un complexe de l’UNRWA. Une première nous dit-on car hommes et femmes ont participé à ce même projet...se tenant néanmoins à distance. Rien ne manque : ni les jolies couleurs pastel, ni les pinceaux, ni même le maquillage de ces femmes artistes apparemment bien dans leurs baskets. Il y a même un parasol pour les abriter du soleil. Dans la rue de ce quartier tranquille aux trottoirs bordés d’arbres on voit circuler des Mercedes parmi les voitures. On est bien loin de la caricature d’une crise humanitaire ou d’une prison à ciel ouvert...Il est à noter que ce reportage est l’un de ceux de la série « Voici notre pays, » qui montre « les défis et réussites de Palestiniens » et ont été tournés aussi dans « des villes qui sont maintenant en Israël. » Seule la journaliste n’est pas voilée.
Un autre reportage montre un élevage de poissons qui semble très moderne et disposer de tous les équipements nécessaires. Mais là, pas de femme en vue, même voilée. Les pêcheurs de Gaza ne peuvent pêcher en mer nous dit-on à cause des Israéliens qui n’acceptent pas que les bateaux s’éloignent trop du rivage – ils ont raison d’être prudents car qui sait ce qui pourrait être pêché alors...- . Et l’eau qui en est proche est polluée car les égouts ne peuvent être réparés – toujours à cause des Israéliens...-. Vrai ou faux. Quoi qu’il en soit il y a de la pisciculture même là où il y a accès à la mer, cela étant très productif. Dans ce reportage les piscines sont pleines et il y a là de quoi nourrir pas mal de Gazaouis...
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04/10/2010
tanya
Igueret Hakodech: chapitre 25
L'Admour Hazaken explique l'enseignement de nos Sages, selon lequel "celui qui se met en colère est comparable à celui qui sert une idôle". En effet, tout ce qui se produit ne peut avoir pour origine que D.ieu Lui-même. Ainsi se mettre en colère, revient à contester l'origine divine de chaque chose.
La Hassidout explique que toute créature ne peut exister que parce que la parole créatrice de D.ieu se maintient à chaque instant en cette créature. Si, à D.ieu ne plaise, cette parole n'habitait pas une créature donnée à un instant donnée, alors celle-ci retournerait au néant.
Selon le niveau spirituelle des créatures, l'origine de la Parole de D.ieu qui a permis de créer ces créatures n'est pas la même. Ainsi, l'âme de Adam, des Patriarches et des prophètes qui furent complètement soumis à D.ieu proviennent du niveau le plus élevé de la parole de D.ieu.
La vitalité qui anime les idolâtres provient, quant à elle, d'un niveau inférieur de la "parole de D.ieu" qui entoure les "anges" des 70 nations. Ces dernières reçoivent alors leur vitalité à travers leur "prince" céleste.
La Parole de D.ieu subit l'effet de voiles qui atténuent plus ou moins le dévoilement et l'influence de celle-ci. Ainsi, la lumière qui brille dans le monde d'Atsilout est plus élevée que celle du monde de Bria qui est elle-même supérieure à celle de Yetsira... Mais, la lumière qui se trouve en chaque monde est fondamentalement la même, ce n'est que par l'effet de "voiles" et d'occultations que celle-ci brille plus ou moins.
Les 10 forces de l'âme de l'homme sont à l'image des 10 Sefirot (attributs) de D.ieu. La force de la "parole" de l'homme correspond à l'attribut de la "Parole" divine encore appelé "Che'hina" (présence divine). C'est pourquoi, lorsqu'une personne prononce des paroles de Torah, il éveille et unifie la Che'hina. De là, découle l'importance de prononcer les prières et les paroles de Torah que l'on étudie et pas simplement de les prononcer dans la pensée.
En correspondance avec les 10 Sefirot, il existe 10 forces de l'impureté desquelles les idôlatres tirent leur existence.
Pour en revenir à notre premier sujet (à propos de celui qui se met en colère qui est comparé à un idolâtre): si quelqu'un est en train de prier et qu'un non-juif vienne à côté de lui, parle et le perturbe, il faut bien comprendre que tout ceci n'est possible que parce que la Parole de D.ieu permet à ce non-juif de parler. Ainsi, il faut considérer cet acte en redoublant de ferveur dans sa prière sans se laisser perturber.
HOUMACH :
Noa'h entre dans l'arche avec tout sa famille et deux membres (mâle et femelle) de chaque espèce animale.
TEHILIM :
Lire les Tehilim 20, 109 (קט) et 119 (versets 97 à 176)(קיט)
SEFER HAMITSVOT (Rambam) :
Mitsva négative N° 124 :
Il nous est interdit de faire cuire avec du levain les restes des oblations.
Mitsva positive N° 88 :
Il s'agit du commandement incombant aux prêtres de consommer les restes des oblations.
Mitsva positive N° 83 :
Il s'agit du commandement qui nous a été enjoint d'accomplir la totalité des devoirs qui nous incombent lors de la première des trois fêtes de pélerinage [qui suit] de sorte qu'elle ne passe pas sans que chacun de nous ait présenté toutes les offrandes qu'il doit apporter.
Mitsva négative N° 155 :
C'est l'interdiction qui nous a été faite de tarder dans l'accomplissement d'un vœu, de dons volontaires et des autres offrandes que nous nous sommes engagés à faire.
HAYOM YOM :
Le commentaire du verset est mentionné par l'Admour Hazaken (Chaar Hayi'houd Vehaémouna, chapitre 1, Igueret Hakodech 25) au nom du Baal Chem Tov, bien qu'il figure dans le Midrach Tehilim, comme le dit également le Likouteï Torah dans le discours commençant par "Ki Bayom Hazé Yi'haper".
La raison en est la suivante: c'est le second jour de la création que fut prononcée la parole "que soit l'espace" qui se trouve dans le ciel. Associer cette citation au Baal Chem Tov est donc un souvenir éternel du fait que c'est le lundi (deuxième jour de la semaine) 18 Elloul que le Baal Chem Tov naquit.
LA HALAHA DU JOUR :
Qui doit s'occuper de l'éducation juive?
Cette obligation incombe à chacun : hommes, femmes et même enfants doivent se sentir responsables de répandre l'éducation juive afin de transformer l'obscurité en lumière. Si chacun doit éduquer, c'est que chacun en est capable et possède des clés pour une éducation cachère complète. Chacun est doué au moins dans un domaine de l'éducation puisqu'il est écrit : «J'ai appris de tous ceux qui m'ont enseigné» (Psaumes). Même les enfants peuvent encourager leurs camarades à s'impliquer davantage dans leur judaïsme. Par ailleurs, quand un enfant juif prononce une bénédiction avant de manger, il déclare que tout existe par la parole de D.ieu et il prépare ainsi le monde entier à accepter joyeusement l'autorité et la Providence divine. L'éducation juive se manifeste dans tous les détails de la vie : il importe donc d'être attentif à tous les détails afin que les enfants puissent connaître le judaïsme dans son intégralité, sans compromis : car un petit compromis dans son jeune âge devient un grand manque à l'âge adulte. Dès sa naissance, l'enfant sera entouré de livres de Torah, de portraits de Juifs pieux, de jouets représentant des animaux cachères, des lettres de l'alphabet hébraïque, de musique juive. Ses vêtements seront choisis en accord avec les lois de la décence et du bon goût. L'enfant juif possédera son propre livre de prières, sa Hagada (pour Pessa'h), son Ma'hzor (pour les fêtes), son 'Houmach (Bible), son Tehilim (Psaumes), son livre de Tanya et sa propre boîte de Tsedaka. Un petit garçon possédera sa Kippa et une petite fille son chandelier de Chabbat. F. L. (d'après les enseignements du Rabbi)
MACHIA'H & DELIVRANCE :
Pendant le temps de l'exil, l'offrande de sacrifices est impossible du fait de l'absence de Beth Hamikdach. Certes, les Sages ont instauré les prières en remplacement de ces cérémonies. Cependant, un tel remplacement est, semble-t-il, imparfait comme l'exprime la liturgie : "Et là, (dans le Beth Hamikdach, après la venue de Machia'h) nous ferons devant Toi.... Selon l'ordre de Ta volonté". C'est précisément cette idée qui pose question. L'œuvre spirituelle accomplie par la prière est supérieure à celle des sacrifices, la première s'attachant à l'âme de l'homme tandis que la seconde porte sur son aspect animal. Pourquoi, dès lors, souligner l'importance primordiale des sacrifices ? En fait, l'impossibilité d'offrir un sacrifice en temps d'exil a également un sens spirituel : comme l'homme est attaché "en bas", il n'a pas la force d'élever "l'animal" et doit se contenter d'agir sur l'âme par la prière. En revanche, lorsque le Machia'h viendra, l'homme parviendra à la plénitude et son œuvre pourra englober tous les aspects.
LA QUESTION AU RAV :
Question:
J'essaie d'optimiser mon temps de repos et de profiter ainsi de ces moments pour lire des Tehilim en étant allongé. Puis-je agir de la sorte?
Réponse:
A priori on dira les Tehilim en étant assis ou debout, mais il n'y a pas d'interdiction à les dire allongé. Il va de soi qu'il faudra prendre garde à ce que le corps soit recouvert comme il se doit et que l'on veillera à ne pas toucher à des parties couvertes de son corps.
Source:שולחן ערוך אורח חיים סימנים עג-עד
Réponse donnée par le Rav Barou'h Belizinski (chabad.org.il) - Traduction assurée par la rédaction du Toramel
Bibliographie des Rubriques :
'Houmach - Rambam - Hayom Yom - Le récit de Chabbat: www.loubavitch.fr
Délivrance & Machia'h: www.loubavitch.fr, www.daf-hagueoula.org, le Messianisme et la Rédemption (Editions du Beth Loubavitch)
La Question à un Rav: www.chabad.org.il
Tanya - Tehilim - Un jour une Hala'ha: Rédaction du Toramel Chnéor
12:28 Écrit par la vraie sioniste dans thora judaisme | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
islam religion polytheiste
Invoquerez-vous Baal et délaisserez-vous le Meilleur des créateurs, [Coran: 37:125, Trad .Hamidoullah]
Ou leur demandes-tu une rétributio...n? Mais la rétribution de ton Seigneur est meilleure. Et c'est Lui, le Meilleur des pourvoyeurs. [Coran: 23:72, Trad. Hamidoullah]
Dans ces deux versets, Allah chante un autre refrain. “Le meilleur des créateurs” signifie un créateur qui est meilleur que d’autres créateurs. Le Coran affirme donc qu’il y a plusieurs créateurs et qu’Allah est le meilleur d’entre eux, celui que les musulmans doivent adorer.
De même, “le Meilleur des pourvoyeurs” signifie qu’Allah donne de plus beaux cadeaux que les autres Dieux. En d’autres termes, Allah peut procurer une meilleure nourriture ou une meilleure vie que les autres Dieux. Donc c’est lui et lui seul que les musulmans doivent adorer car il offre les plus beaux lots. Allah est comme un politicien qui promet de beaux jours aux électeurs s’ils l’élisent.
Dans ces deux versets du Coran Allah admet donc l’existence d’autres Dieux ; Il prétend juste qu’il est meilleur qu’Eux.Afficher la suite
12:09 Écrit par la vraie sioniste | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
allah n'est pas dieu
Dans l’Antiquité, à Babylone et tout le Moyen-Orient, le dieu principal était le dieu de la lune, représenté par un taureau, symbole de force et de fécondité, et plus simplement parfois par ses seules puissantes cornes en forme de croissant... de lune (1). C’est ainsi que l’on peut voir encore au Musée d’Alep (Syrie), le dieu de la Lune, Sîn, protecteur d’Ur, symbolisé par des hampes surmontées d’un croissant lunaire. Sous ses différents noms, le dieu de la lune fut très tôt adoré en Mésopotamie comme le « Père des dieux », l’équivalent de Zeus pour les Grecs ou de Jupiter pour les Romains. Les arabes païens adoraient eux-aussi ce dieu de la lune appelé Hubaal (41.37) (2). Hubaal avait eu trois filles : Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus, les divinités priées par Mahomet dans les fameux versets sataniques (53.19-20). La Bible, quant à elle, stigmatisait ce super-dieu représenté par un taureau comme étant le faux-dieu par excellence (Ex 32), appelé Baal (1 Ro 12.28-32 ; Ps 106/105.19-20…).
Par souci de cohésion et de légitimité pour leur entreprise, les judéo-nazaréens ou juifs-messianiques, ces « faux-frères » comme les appelait S. Paul (Ga 2.4 ; 2 Co 11.13, 26 ; Ph 3.2), venus chercher auprès des tribus arabes du renfort pour reprendre Jérusalem, firent passer Hubaal du rang de plus puissant de leurs dieux (statut que conserve encore la célèbre formule «Allah akbar !», «Allah est le plus grand !») au rang de seul Dieu, et donc identique au Dieu juif. Et de même que les Romains disaient : « Ô Deus ! » (« Ô Dieu ! ») (Mi 4.5) pour s’adresser à Jupiter, de même chaque tribu arabe s’adressait à son dieu propre en le nommant « Le dieu », « Al-Ilâh », ce qui par contraction a donné « Allah » (3), « LE Dieu », unique, pour désigner Hubaal, le Dieu de la lune et le plus grand des dieux devenu le seul Dieu. Et c’est ainsi qu’aujourd’hui encore Hubaal continue à couler des jours heureux, toujours représenté sur les drapeaux musulmans ou le toit des mosquées… souvent d’ailleurs accompagné de sa fille, la planète Vénus, la déesse Al-Uzzah…
Contrairement donc à ce que veut le faire croire l’islam, Allah n’est pas le Dieu biblique, même s’il est vrai qu’il n’y a bien qu’un seul Dieu (Jn 4.22), mais le produit de la rencontre entre l’idolâtrie de Hubaal, le dieu de la lune, le plus grand des dieux du panthéon arabe, et l’affirmation de l’unicité divine typique du judaïsme, en sorte que l’islam, à proprement parler, n’est rien d’autre qu’une idolâtrie du dieu juif.
Il est facile en effet de reconnaître encore d’autres sources païennes de l’islam, comme par exemple la vénération de la pierre noire à la Mecque, symbole féminin de la déesse Shaybah. Ainsi que cela se pratique encore d’autres religions, et comme autrefois le faisaient leurs ancêtres arabes païens aimant toucher la vulve de la déesse en gage de bénédictions, aujourd’hui encore les musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à la Mecque en touchant et embrassant cet objet sacré…
Bref, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, sous couvert de respect du caractère sacré de la religion, l’islam condamne comme blasphémateurs et souvent passibles de la peine de mort, ceux qui osent réfléchir sérieusement au bien-fondé de son discours officiel…
Je rappelle que le pape Calixte III, après la prise de Constantinople par les Turcs, à demandé que l’on prie l’Angélus, matin, midi et soir, pour obtenir de Dieu la conversion des musulmans et la paix.
(1) Au Musée du Louvre est conservé un poids du temple du dieu lune d’Ur. Il pèse 248 gr. et porte le croissant lunaire, emblème du dieu. (Antiquités orientales, Mésopotamie, ± 2350 à 2000 AJC, Salle 2, poids AO 22187). Dans la Bible, le signe du croissant de lune est associé aux Philistins et aux Madianites (Jg 8.26 ; Es 3.18), c’est-à-dire à des peuples païens et idolâtres. Si d’après le lexique arabe de Lane de 1893, Al-Ilah fait référence « au grand serpent », c’est peut-être parce qu’il est graphiquement facile de passer d’un croissant de lune à un serpent.
(2) Certains auteurs arabes modernes estiment que son nom vient de Baal, appellation des dieux cananéens et phéniciens, précédé de «hou », article défini dans un dialecte cananéen.
(3) La plupart des lexiques étymologiques arabes reconnaissent que le mot Allah tire son origine de Al-Ilâh par contraction. Dans ilâh, âh est un suffixe. Le terme originel est « Il », qui correspond dans la Bible au nom de la divinité « El » (Gn 17.1 ; 28.3 ; 33.20 ; 46.3 …).
10:22 Écrit par la vraie sioniste dans histoire de l'islam | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
03/10/2010
islam ideologie et non religion
14:42 Écrit par la vraie sioniste | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |
Pour la vérité, pour Israël
Pour la vérité, pour Israël
Il est indispensable de mettre fin à l’avalanche de mensonges qui se déversent chaque jour
sur Israël. Israël est l’unique pays qui peut être sûr d’être attaqué quoi qu’il fasse :
que ses athlètes participent à un t...ournoi, que ses films soient en compétition dans un festival international de cinéma ou qu’il défende sa population contre des attaques de missiles et des attaques terroristes.
Mais cette politique ne fait pas l’unanimité et les classes dirigeantes doivent le savoir.
Il faut retrouver la décence du langage, perdue depuis longtemps, quand on parle des problèmes du Moyen-Orient.
Nous voulons rétablir la vérité, celle d’Israël entouré d’ennemis qui l’assaillent de haine,
d’actes terroristes et de missiles, celle d’une société démocratique au milieu de pays et de groupes pour lesquels l’oppression de leurs propres peuple n’a rien à envier à leur détermination à détruire l’Etat juif, l’unique démocratie du Moyen-Orient.
Nous voulons protéger cette démocratie en prouvant qu’en Europe, l’opinion publique,
et avec elle de nombreux intellectuels, politiciens, professionnels et journalistes,
est fatiguée de la délégitimation quotidienne d’Israël. Sa démocratie, c’est également la notre, ce noyau du monde libre au Moyen-Orient, c’est aussi nous.
Alors envoyez également votre vérité sur Israël (voir link) et venez participez à cet évènement le 7 octobre à Rome
13:11 Écrit par la vraie sioniste | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook |